Les candidats Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy et leurs partis politiques

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Nicolas Sarkozy candidat de l'UMP

Historique de l'UMP

Fondations de l'UMP

2001 appel à une nouvelle initiative pour l'union de la droite « France alternance : pour un nouveau contrat politique ». Initiée par Alain Juppé (RPR) et Jérôme Monod, conseiller du Président Jacques Chirac à l'Élysée

2002 : 1re convention constitutive à Paris, prend le nom d'Union en mouvement (UEM)

Création de l'UMP

Créée le 23 avril 2002 au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle, l’UMP signifie L’Union pour la Majorité Présidentielle en soutien au Président Jacques Chirac. A l’issue du second tour, qui voit la victore du Président Chirac, le sigle UMP se traduira par Union pour un Mouvement Populaire, une dénomination par ailleurs entérinée lors de son congrès fondateur du 17 novembre 2002.

Parti politique français membre du Parti populaire européen, ainsi que de l'Union démocratique internationale, forum des partis conservateurs à l'échelle mondiale

A la tête de l’UMP, c’est tout d’abord Alain Juppé qui est élu Président du mouvement. Puis le 28 novembre 2004 à l’occasion du congès du Bourget, Nicolas Sarkozy prend la tête du Parti.

Union des forces de droite

L’UMP regroupe plusieurs familles de droite :

Sources : u-m-p.org, wikipédia, quid.fr

Ségolène Royale candidate du PS

Historique du Parti Socialiste

1877 Jules Guesde (Jules Bazile) crée le journal l'Égalité.

1879 Création de la Fédération du parti des travailleurs socialistes de France

1899 congrès général socialiste salle Japy (Paris)

1900 : 6 fractions socialistes :

  1. Parti ouvrier français (POF) fondé par Guesde en 1882 [marxistes].
  2. Parti socialiste révolutionnaire fondé en 1898 [blanquistes].
  3. Fédération des travailleurs socialistes créée en 1882 par des anciens du POF [possibilistes antimarxistes surnommés ainsi car partisans de revendications immédiates et possibles, notamment au niveau municipal].
  4. Parti ouvrier socialiste révolutionnaire (POSR) fondé en 1890 [ouvriéristes].
  5. Alliance communiste.
  6. Fédération des socialistes indépendants [Jean Jaurès, René Viviani, Alexandre Millerand, Aristide Briand].
  7. 1901 Tentatives de fusion des fractions.

    1902 : 2 partis :

    • Parti socialiste français (PSF) [indépendants, allemanistes, possibilistes ; chef Jean Jaurès ; journal : la Petite République] ;
    • Parti socialiste de France (PSDF) [marxistes, blanquistes, Alliance communiste ; chef : Jules Guesde ; journal : le Socialiste].

    1902 élections législatives PSF 37 élus, PSDF 14.

    1904 congrès de l'Internationale d'Amsterdam recommande à Guesde et Jaurès de s'unir tout en condamnant les tendances révisionnistes.

    1905 Création de la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière) à Paris Xe. 286 délégués adoptent leur « charte d'unité »

    • art. 1er : «Le parti socialiste est un parti de classe qui a pour but de socialiser les moyens de production et d'échange, c'est-à-dire de transformer la société capitaliste en une société collectiviste ou communiste, et pour moyen l'organisation économique et politique du prolétariat. Par son but, par son idéal, par les moyens qu'il emploie, le parti socialiste, tout en poursuivant la réalisation des réformes immédiates revendiquées par la classe ouvrière, n'est pas un parti de réforme, mais un parti de lutte de classe et de révolution»).

    1906 congrès de Toulouse confié à Jaurès direction effective du mouvement ;

    1914 Assassinat de Jean Jaurès

    1914-18 : 3 courants :

    • majoritaires : partisans de l'union sacrée (avec Guesde) ;
    • minoritaires (avec Longuet) votent les crédits de guerre avec les majoritaires, mais veulent renouer avec la minorité pacifiste de la sociale-démocratie allemande pour une paix sans annexions ;
    • zimmerwaldiens (avec Blanc, Brizon et Raffin-Dugens) votent contre les crédits de guerre à partir d'avril 1916 (conférence de Kienthal), condamnant la « guerre impérialiste » et la « collaboration de classe », mais sans prôner le défaitisme révolutionnaire (comme les bolcheviks).

    A partir de 1917 rassemblement centriste autour du longuettisme : répudiation de l'union sacrée (la SFIO ne participe plus au gouvernement depuis sept. 1917, mais les députés votent toujours les crédits de guerre), prône une force internationale de paix et d'arbitrage autour des socialistes (accueil enthousiaste des « 14 points » de Wilson).

    1920 congrès de Tours : scission, la majorité (environ 3/4 des membres) fonde le Parti Communiste Français.

    1924 la SFIO, reconstruite par Paul Faure et Léon Blum, soutient les radicaux sur le plan électoral et redevient un grand parti parlementaire.

    1933 scission au congrès national : exclusion des « néo-socialistes » Adrien Marquet, Marcel Déat, Montagnon et Pierre Renaudel, création du Parti socialiste de France.

    1934 Marceau Pivert crée, à l'intérieur du PS, des TPPS (Toujours prêts pour servir), groupes de défense de militants en uniforme (chemise bleue, cravate rouge).

    1935 fonde la Gauche révolutionnaire au sein de la SFIO.

    1936 alliée aux communistes et aux radicaux, la SFIO devient le plus grand parti de France (250 000 membres) ; 1er gouvernement à direction socialiste (Léon Blum).

    1937 la Gauche révolutionnaire obtient 16,5 % des voix au congrès du parti.

    1938 congrès de Royan : Gauche révolutionnaire de Marceau Pivert exclue de la SFIO, devient le PSOP (Parti socialiste ouvrier et paysan), 8 000 adhérents (soit 30 % des anciens membres de la Gauche révolutionnaire).

    1939 congrès de Nantes : rupture Blum/Faure sur Munich et la guerre ; fin du PSOP ; Pivert s'exile aux USA puis, juillet 1940, à Mexico (1945 réintègre SFIO).

    1940 La majorité des socialistes vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain ; 36 (dont Blum et Moch) sont parmi les 80 qui votent non.

    1941 Comité d'action socialiste regroupant des socialistes résistants.

    1943 La SFIO est reconstituée ; représentée dans le Conseil national de la Résistance.

    1946 XXXVIIIe congrès : défaite de Daniel Mayer, proche de Léon Blum.

    1946 Guy Mollet élu secr. général.

    1956 élections législatives : succès du Front républicain (formé en 1956, partis de gauche et du centre autour de Mendès France) ; Jean-Jacques Servan-Schreiber en avait imaginé la formule réunissant Parti radical et SFIO. Guy Mollet Pt du Conseil avec Mendès France ministre d'État (Mendès ayant fait échouer la CED, Mollet n'a pu lui confier les Affaires étr.) ; Mendès France démissionne, le Front républicain n'est plus qu'une formule ; le gouvernement rappelle le contingent et déclenche l'opération de Suez.

    1957 traité de Rome (ratifié 9-7 par 99 députés SFIO sur 100).

    1958 André Philip exclu (a publié en 1956 le Socialisme trahi) ; congrès d'Issy-les-Moulineaux : approuve projet de Constitution de la Ve République [scission du PSA/(Parti socialiste autonome d'Édouard Depreux, Daniel Mayer et Alain Savary. Guy Mollet se rallie à de Gaulle et entre dans son gouvernement. Législatives : la SFIO maintient son % en voix (mais n'a plus que 44 députés au lieu de 95 à cause du nouveau mode de scrutin). Peu après, les ministres socialistes quittent le gouvernement. Les socialistes entrent dans l'opposition pour 22 ans.

    1965 congrès de Clichy : Mollet et Defferre s'opposent ; la création d'une Fédération démocrate socialiste ouverte notamment vers radicaux et MRP échoue ; Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS) regroupe SFIO, radicaux et clubs opposés à de Gaulle [dont Club Jean-Moulin : été 1958 dénonce la torture en Algérie, prône une politique libérale à l'égard des « peuples d'outre-mer » ;

    1965 présidentielle : soutient la candidature de M. « X » (Gaston Defferre) puis celle de Mitterrand ;

    1966 adhère à la FGDS ;

    1968 redevient société de pensée ;

    1969 Jacques Chaban-Delmas a pour conseillers des proches ou des membres du club [Jacques Delors, Simon Nora - « la nouvelle société »] ;

    1970 disparaît (manque d'adhérents actifs)].

    1968 Mitterrand, Pt de la FGDS, se déclare candidat à la présidence de la Rép. ; échec de la FGDS aux élections legislatives de juin (57 députés pour 118 sortants) ; Mitterrand est tenu pour responsable ; Mitterrand démissionne (la FGDS disparaît, les radicaux répugnent, surtout après l'invasion de la Tchécoslovaquie, à côtoyer les communistes et refusent de se fondre dans une formation socialiste).

    1969 congrès d'Alfortville : création du Parti Socialiste ; Gaston Defferre battu malgré une campagne menée avec Mendès France ; congrès d'Issy-les-Moulineaux : le PS succède à la SFIO.

    1969

    Alain Savary 1er secrétaire.

    1971 congrès d'Épinay : victoire de Mitterrand allié au Ceres (Chevènement), aux Fédérations du Nord (Mauroy) et des B.-du-Rh. (Defferre). Savary, allié à Mollet et à Jean Poperen; nouvelle structure, rassemblant adhérents du PS, de la Convention des institutions rép. (Mitterrand) et 3 813 nouveaux adhérents.

    1971 François Mitterrand, seul candidat, élu 1er secrétaire, Mauroy secr.-adjoint.

    1972 convention nationale de Suresnes ; programme : changer la vie du PS ; signature du Programme commun de gouvernement

    1973 congrès de Grenoble : coalition Mitterrand/Mauroy/Defferre (rejointe par Savary, qui rompt son alliance avec Mollet) passe de 44 à 65 %, le Ceres de 8,5 à 21 % ; Poperen de 12 à 5,5 % et Mollet de 33 à 8 %. Avant la synthèse, Poperen se rallie : Mitterrand 92 %, Mollet 8 % ; Mitterrand réélu 1er secr.

    1974 présidentielle : Mitterrand battu ; assises du socialisme : une partie du PSU (PS unifié), avec Rocard, se rallie. Adhésions individuelles (dont J. Delors).

    1975

    congrès de Pau : motion Mitterrand-Mauroy (propose de rendre au PS une certaine autonomie dans l'union de la gauche) 68 %, Ceres 25,4 %, pas de synthèse, le Ceres devient la minorité.

    1977 congrès de Nantes : Mitterrand 75,8 % des mandats, Chevènement 24,21 %, pas de synthèse ; -22-9 rupture avec PC sur renégociation du Programme commun.

    1978 législatives : droite reste majoritaire.

    1979 congrès de Metz avec A (Mitterrand 47 %), B (Mauroy 17 %), C (Rocard 21 %) et E (Chevènement 15 %). A et E forment une nouvelle majorité autour de la ligne « Regarder devant soi et tenir bon ».

    1980 convention nationale d'Alfortville : adoption du projet socialiste.

    1981 congrès extraordinaire de Créteil : Mitterrand désigné comme candidat pour présidentielle et Lionel Jospin confirmé 1er secr. ; Mitterrand élu Pt de la Rép. ; -23/25-10 congrès de Valence : motion unanime autour de Jospin et du courant Mitterrand pour soutenir la politique du gouv. Mauroy (estimé à 50 % ; baisse des rocardiens). Jospin réélu 1er secr. à l'unanimité.

    1983 municipales : recul du PS ; 28/30-10 congrès de Bourg-en-Bresse et synthèse entre 3 courants : Jospin/Mauroy/Rocard 78 % des mandats, Ceres (Chevènement) moins de 18 %, Lienemann/Richard moins de 5 % ; Jospin réélu 1er secr. à l'unanimité.

    1985 congrès de Toulouse ; motion 1 : Jospin/Mauroy/Chevènement 71,49 % des mandats ; motion 2 : Rocard 28,51. Synthèse, Jospin réélu 1er secr. par acclamation.

    1986 législatives : victoire de la droite, Chirac 1er ministre.

    1987 congrès de Lille : motion unique adoptée par 98,43 %, abstentions 1,29 %, contre 0,07 %. Jospin veut rénover la direction ; Poperen quitte le secrétariat national, Rocard refuse d'y entrer, le PS sera dirigé par 2 anciens PM (Mauroy et Fabius) et 7 anciens ministres, Jospin réélu.

    1988 Mitterrand réélu Pt de la Rép.

    1988 Pierre Mauroy 1er secr. ; législatives : succès de la gauche mais le PS n'a plus la majorité absolue.

    1990 congrès de Rennes : courant Mauroy/Mermaz/Jospin 28,9 %, Fabius 26,4, Rocard 24, Poperen 7,2, Socialisme et république 8,5 % ; accord sur un texte commun (« rassembler à gauche »), adoption de la nouvelle déclaration de principes ; Mauroy réélu 1er secrétaire à l'unanimité.

    1991congrès de la Grande Arche : adoption du projet socialiste « Pour un nouvel horizon » 81 %, amendement Chevènement 12 %, Julien Dray 6 %, moins de 50 % des adhérents ont voté. Mauroy démissionne.

    1992 Laurent Fabius 1er secr. ; congrès de Bordeaux : après défaites aux régionales et cantonales, Bérégovoy remplace Édith Cresson comme 1er ministre ; Rocard candidat « naturel » à la présidentielle ; Chevènement quitte la direction du PS pour faire campagne pour le « non » au référendum sur le traité de Maastricht.

    1993 discours de Montlouis-sur-Loire : Rocard demande un big-bang politique à gauche et la constitution d'un mouvement allant jusqu'aux centristes, écologistes et communistes critiques ; législatives : victoire de la droite, Balladur 1er ministre ; Michel Rocard Pt provisoire du PS ; Bérégovoy se suicide ; États généraux à Lyon ;congrès du Bourget : motion Rocard, Fabius, Jospin, Mauroy 87,27 %, Poperen 11,1 %, Dumas, Mermaz 6,6 % ; Rocard 1er secr.

    1994 Henri Emmanuelli 1er secr. ; congrès de Liévin : motion Emmanuelli, Fabius, Poperen, Mauroy, Jospin, Rocard 92,1 %.

    1995 Lionel Jospin 1er secr. Convention nationale : adoption du vote personnel et secret à tous les échelons de l'organisation.

    1995 présidentielle : 1er tour Jospin 23,3 %, 2d tour 47,36 % (battu) ; municipales : 7,26 % (1er tour), 29 604 conseillers élus.

    1996 convention nationale de l'Haÿ-les-Roses sur l'Europe ; texte : « Mondialisation, Europe, France » : sur 103 111 inscrits, 47 783 militants du PS (46,34 %) ont voté : 44 543 voix pour (93,22 %), 907 contre et 2 333 abstentions. Amendement de « substitution » de la gauche socialiste : 18 148 voix pour (40,74 %), 16 877 contre et 8 497 abstentions.

    1997 législatives anticipées : victoire de la gauche, Jospin 1er ministre, gouvernement de « Gauche plurielle ». congrès de Brest : motion 1 : Hollande 84,07 % ; motion 2 : Mutin (popereniste) 5,43 ; motion 3 : Mélenchon (« gauche socialiste ») 10,2.

    1997 François Hollande 1er secrétaire.

    2000 congrès de Grenoble : Hollande 72,94 %, Emmanuelli 13,78 %, Gauche socialiste 13,28 %. Hollande réélu.

    2002 présidentielle : Jospin 15,85 % , (battu 1er tour) ; Jospin démissionne du poste de PM et se retire de la politique ; législatives : 6 142 654 voix (23,78 %) ;Jean-Marc Ayrault Pt du groupe Socialiste à l'Ass. nat. ; appel d'Argelès : création du courant Nouveau Monde (Henri Emmanuelli et Jean-Luc Mélenchon) ; création du courant Nouveau Parti socialiste (NPS) par Julien Dray, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Christian Paul et Vincent Peillon.

    2003 Dray quitte NPS et soutient Hollande ; congrès de Dijon, élection du Conseil national : 204 membres dont issus de la motion « Pour un grand PS : François Hollande » 133 (61,37 %, 60 405 voix), « Pour un Nouveau PS » 36 (16,88 %, 16 620 voix), « Pour un nouveau monde, un autre chemin » 35 (16,33 %, 16 070 voix), « La notion militante, pour que vive la gauche » de Marc Dolez 0 (4,38 %, 4 039 voix) et « Utopia » 0 (1,05 %, 1 029 voix).

    2004 régionales : 1er tour 33,57 %, 2d tour 49,33 % (préside 22 régions sur 26) ; cantonales : 26,25 % (préside 44 départements sur 100) ; européennes : 28,89 % (31 élus sur 78) ; sénatoriales : 31 élus ; consultation interne sur projet de Constitution europ. : inscrits 120 038, votants 99 162, oui (58,8 %), non (41,2 %). Fabius et Emmanuelli font campagne pour le « non ».

    2005 conseil national : Fabius et ses partisans évincés de la direction ;congrès du Mans : votants 106 000, motions « Hollande » 53,63 %, « Nouveau Parti socialiste » 23,54 %, « Fabius » 21,17 % ; François Hollande réélu 1er secr. (76,96 %).

    2006 projet pour présidentielle 2007 adopté (coût estimé : Hollande 35 Md€, Strauss-Kahn 50, Copé 115).

    Déclaration de principes (adoptée en 1990). Objectif : émergence, par la voie démocratique, d'une société qui réponde aux aspirations fondamentales de la personne humaine telles que les ont définies des siècles de lutte pour le progrès et que les expriment aujourd'hui tous les peuples : liberté, égalité, dignité et émancipation des hommes et des femmes, bien-être, responsabilité et solidarité.

    Parti de rassemblement, il met le réformisme au service des espérances révolutionnaires. Est favorable à une Société d'économie mixte qui, sans méconnaître les règles du marché, fournisse à la puissance publique et aux acteurs sociaux les moyens de réaliser des objectifs conformes à l'intérêt général.

    Démocratique, il fonde son action et son projet sur le respect des droits de l'homme et du citoyen dans le cadre d'un État de droit reposant sur le suffrage universel et le pluralisme. Il est fermement attaché à la liberté de conscience et à la laïcité de l'État et de l'École.

    Sources : parti-socialiste.fr, wikipédia, quid.fr

    Archives télévisées liées au Parti Socialiste sur le site de l'INA

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